dimanche, novembre 20, 2005

La lumière

On est dimanche. C’est bien la première fois, je pense, que je viens poster un message le dimanche. J’ai la tête qui bourdonne. Il y a tellements de choses qui tournent...
Et puis je suis tombée sur ce texte. J’ai dormi pendant très longtemps moi aussi, et la lumière a jaillit. d’un seul coup. Je suis toute étourdie, mais la lumière reste. Je ne veux plus dormir, je ne veux plus me contenter de rêver ma vie, de la regarder passer. La lumière est forte, elle m’appele. J’ai envie de prendre le risque. Il me faut juste un peu de temps pour m’y abituer. J’ai dormi pendant si longtemps....


"Le guerrier de la lumière se réveille maintenant de son rêve.
Il pense : “Je ne sais pas affronter cette lumière qui me fait grandir.”
La lumière, cependant, ne disparaît pas.
Il se demande : “Serait-ce que des changements que je n’ai pas la volonté de réaliser son nécessaires?”
La lumière est toujours là, parce que la volonté est un mot plein de ruse.
Alors, les yeux et le coeur du guerrier commencent à s’accoutumer à la lumière. Elle ne lui fait plus peur ; il se met à accepter sa Légende, même si cela implique de courir des risques.
Le guerrier a dormi pendant très longtemps. Il est naturel qu’il se réveille petit à petit..."

mercredi, novembre 16, 2005

« On ne peut découvrir
de nouvelles contrées,
sans consentir à perdre le rivage de vue
pendant très longtemps. »
André Gide

vendredi, novembre 11, 2005

Le temps

Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros. Simplement, il y a deux règles à respecter.

Première règle : tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous ouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86 400 euros pour la journée.

Deuxième règle : La banque peut interrompre ce "jeu" sans préavis ; à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre.

Que feriez-vous ? Vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent, n’est-ce pas ?

Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps !

Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n'y a pas de report.
Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer.

Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis ; à tout moment, la vie peut s'arrêter. Alors que faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?

La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue …
alors profitons-en !

jeudi, novembre 10, 2005

« Il y a de certaines gens,
qui veulent si ardemment et si déterminément
une certaine chose,
ils n'oublient rien de ce qu'il faut faire
pour la manquer. »



« Quand tu veux vraiment une chose, tout l'Univers conspire à faire en sorte que tu parviennes à l'obtenir »

mardi, novembre 08, 2005

Volonté

Volonté. Voilà un mot dont on devrait se méfier pendant quelques temps. Quelles sont les choses que nous ne faisons pas parce que nous n’en avons pas la volonté, et quelles sont celles que nous ne faisons pas parce qu’elles comportent un risque ?
Voici un exemple de ce que nous prenons pour un « manque de volonté » : parler avec des inconnus. Qu’il s’agisse d’une conversation, d’un simple contact ou d’une confidence, nous parlons rarement avec des inconnus. Et nous trouvons toujours que c’est mieux ainsi.
Au bout du compte, nous ne venons en aide à personne et nous ne sommes pas aidés par la vie.
Notre distance nous fait paraître supérieurs et très surs de nous. En réalité, nous ne permettons pas à la voix de notre ange de se manifester par la bouche des autres.

Ma philosophie

Je n'espère rien
Je ne crains rien
Je suis libre